Ma belle-sĹ“ur suivait un traitement psychologique Ă l’Ă©poque. DĂ©c. Un jour, il m’a appelĂ© “ ” Un voleur est entrĂ© par effraction chez le voisin, j’avais très peur, reste avec moi un jour ou deux.”dit-il. Bien sĂ»r, je me suis envolĂ© pour ma tante. Ma tante a dit: “Je vais d’abord aller aux toilettes, puis j’irai dimanche, tu restes Ă la maison, tu regardes la tĂ©lĂ©, tu restes ici la nuit, j’ai peur.”dit-il. un voleur est entrĂ© par effraction chez le voisin d’Ă cĂ´tĂ© il y a 2 jours, et ma tante avait peur d’ĂŞtre seule. C’Ă©tait un grand moment pour moi, j’ai dit que ça arriverait tout de suite. Ma belle-sĹ“ur est allĂ©e dans la salle de bain, alors je suis allĂ©e tout de suite dans la chambre de ma belle-sĹ“ur. J’ai sorti un soutien-gorge de ma belle-sĹ“ur du tiroir et je l’ai frottĂ© sur ma bite pendant un moment et j’ai fantasmĂ© comme si je baisais ma belle-sĹ“ur. Puis j’ai commencĂ© Ă regarder ma belle-sĹ“ur Ă travers le trou de la serrure de la porte de la salle de bain et Ă tirer sur 31. Ma belle-sĹ“ur a commencĂ© Ă se dĂ©shabiller, elle avait une jarretière blanche dedans, l’a enlevĂ©e et l’a jetĂ©e dans son panier sale, puis a ouvert l’eau et est allĂ©e nue sous l’eau…
Ma belle-sĹ“ur se lavait dans la salle de bain sans rien savoir, et je devenais folle Ă regarder. Puis ma tante a fait mousser son corps. Alors qu’il frottait la mousse sur ses seins, sa chatte et son cul, il semblait qu’il se satisfaisait. Ma tante s’est ensuite rincĂ©e et Ă©pilĂ©e les jambes et s’est rasĂ©e la chatte. La chatte de ma belle-sĹ“ur Ă©tait comme en train de glisser. Puis il ouvrit Ă nouveau l’eau et passa sous l’eau et se lava. Pendant que ma tante se faisait un shampoing et se lavait Ă nouveau la chatte, quelque chose est arrivĂ© Ă ma tante, je pense qu’elle a commencĂ© Ă avoir un orgasme toute seule. Ma tante se caressait littĂ©ralement la chatte. Puis il frissonna et Ă©jacula. Ă€ ce moment-lĂ , j’avais aussi Ă©jaculĂ©. Ă€ ce moment-lĂ , j’ai eu envie d’ouvrir la porte et d’entrer dans la salle de bain et d’attaquer ma belle-sĹ“ur, mais je n’ai pas trouvĂ© le courage moi-mĂŞme. Ma belle-sĹ“ur s’est rincĂ©e et a commencĂ© Ă se vĂŞtir. Cette fois, il portait Ă©galement une jarretière noire. J’ai rĂ©alisĂ© que ma belle-sĹ“ur sortait de la salle de bain et j’ai immĂ©diatement couru vers la terrasse. J’ai sorti les charbons sur la terrasse ou quelque chose du genre, j’ai dĂ©libĂ©rĂ©ment souillĂ© mon haut et je suis descendu Ă la maison. Ma belle-sĹ“ur Ă©tait habillĂ©e, elle m’a dit: “OĂą Ă©tais-tu passĂ©e?”dit-il. “J’ai tirĂ© sur les braises, tante.J’ai dit. “Bon pour ta main, mais ta tĂŞte supĂ©rieure est poussiĂ©reuse, prends un bain chaud, j’irai dimanche.”il a dit, il a quittĂ© la maison.
Je connais ma tante, elle n’aurait pas pu venir avant 2 assis quand elle est allĂ©e au dimanche. Je me suis immĂ©diatement dĂ©shabillĂ©, je suis allĂ© dans la salle de bain, j’ai regardĂ© son panier sale. La jarretière blanche de ma belle-sĹ“ur Ă©tait lĂ et elle Ă©tait encore chaude. J’ai immĂ©diatement commencĂ© Ă renifler et Ă lĂ©cher, ça sentait bon. Quand j’ai senti la jarretière de ma belle-sĹ“ur, c’Ă©tait comme si je baisais ma belle-sĹ“ur, ma bite est redevenue comme un pieu. J’ai pris un poste 31, j’ai pris un bain et je me suis habillĂ© et je suis parti. Puis je suis allĂ© dans la chambre de ma belle-sĹ“ur et j’ai fouillĂ© dans les tiroirs. Il y avait un trĂ©sor dans les tiroirs. Bretelles, soutiens-gorge et culottes en dentelle noire, blanche, bleue, rouge. C’Ă©tait comme s’ils Ă©taient tous Ă moi, je les ai sentis un par un, je les ai lĂ©chĂ©s, puis je les ai remis et je suis parti. Je suis allĂ© dans le salon, je voulais dormir et dormir un peu, parce que si je voulais baiser ma belle-sĹ“ur ce soir, je n’aurais pas dĂ» dormir avant le matin. Je me suis endormi pendant la journĂ©e avec des rĂŞves de baiser ma tante…
Ma tante est venue du dimanche, a prĂ©parĂ© le dĂ®ner, m’a soulevĂ©. Après avoir dĂ®nĂ© ensemble, nous regardions la tĂ©lĂ©. Ma belle-sĹ“ur prenait un mĂ©dicament lourd en raison d’un traitement psychologique. après avoir pris 4-5 mĂ©dicaments, il a dit “ ” Ces mĂ©dicaments sont très lourds, ils m’engourdissent littĂ©ralement partout, je ne ressens rien, surtout s’ils lancent une balle quand je m’endors, je ne me rĂ©veille pas, ça me fait dormir confortablement pendant 15 heures, je vais laisser cette boĂ®te s’Ă©couler, je n’entends aucun bruit la nuit, j’ai peur d’un voleur.”dit-il. Une demi-heure s’est Ă©coulĂ©e, ma tante a dit: “Écoute, je m’endors Ă nouveau, dois-je faire du cafĂ©, allons-nous dĂ©camper?”dit-il. J’ai dit: “Belle-sĹ“ur, oublie le cafĂ©, je vais en faire un citron, nous le boirons froid froid.J’ai dit. Ma tante aimait beaucoup la limonade, ” D’accord, faisons-le pour que nous puissions boire.”dit-il. Je suis immĂ©diatement allĂ© Ă la cuisine et j’ai fait de la limonade. Je m’Ă©tais mis dans la tĂŞte que j’allais baiser ma tante ce soir, et pour une raison quelconque, j’avais peur. Les mĂ©dicaments qu’elle utilisait Ă©taient lourds pour ma tante, mais pour les alourdir, j’ai versĂ© 5 Ă 6 gouttes de la carafe endormie trouvĂ©e parmi les mĂ©dicaments de ma tante dans la cuisine dans la limonade de ma tante…
Je suis entrĂ© avec des limonades, j’ai donnĂ© de la limonade Ă ma belle-sĹ“ur. Ma belle-sĹ“ur a dit “”Je brĂ»le, j’espère que la limonade froide te fera du bien.”il a dit, a bu la limonade en un seul point. “Comme si c’Ă©tait un peu douloureux?”dit-il. J’ai dit: “Tante, je l’ai fait sans sucre, ça s’ouvre Ă l’intĂ©rieur!J’ai dit. Une demi-heure s’est Ă©coulĂ©e, ma belle-sĹ“ur Ă©tait en feu, elle a remontĂ© sa jupe, a jetĂ© ses jambes en dĂ©cembre. Les jambes de ma belle-sĹ“ur ressemblaient Ă des colonnes et des bretelles. Je planais subrepticement. Ma belle-sĹ“ur a commencĂ© Ă bâiller “ ” Eh bien, j’ai sommeil!”dit-il. Ma belle-sĹ“ur est devenue très lourde, ” J’ai la tĂŞte qui tourne, ça n’a jamais Ă©tĂ© comme ça, je prends des mĂ©dicaments sans cesse, je pense que c’est parce que c’est tout lourd, je vais aller m’allonger un moment!”il a dit et s’est levĂ©. Il Ă©tait encore tĂ´t, il n’Ă©tait que 21h00 du soir, “Bonne tante, va te coucher, je vais encore regarder la tĂ©lĂ© et aller me coucher.J’ai dit. Tante, ” VĂ©rifie bien la porte du balcon ou quelque chose avant d’aller te coucher!”il a prĂ©venu et s’est couchĂ© dans la chambre. Ma tante avait laissĂ© la porte de sa chambre Ă moitiĂ© ouverte…
Un film sexuel est sorti sur le satellite pendant qu’ils mixaient leurs chaĂ®nes. Quand je regardais le film, ma bite ressemblait Ă un pieu, je suis allĂ© aux toilettes, j’ai pris un courrier 31, je suis venu. Ça ne se passait pas comme ça, mon ami, j’aurais dĂ» faire ce que j’ai fait et baiser ma belle-sĹ“ur. Deux heures s’Ă©taient Ă©coulĂ©es alors que je rĂ©flĂ©chissais Ă la façon de baiser ma tante, ma tĂŞte Ă©tait enflĂ©e. Je me suis levĂ©, je suis allĂ© Ă la cuisine, j’allais fumer une cigarette sur le balcon. En ouvrant la porte du balcon, j’ai mis le verre dans ma main sur le rebord de la fenĂŞtre, le verre est tombĂ© et s’est cassĂ©. J’ai immĂ©diatement couru vers la porte de la cuisine, mais je n’ai pas pu rattraper mon retard, la porte a claquĂ© Ă cause du vent. Le vent avait aussi fermĂ© la porte de la chambre de ma tante. J’ai fermĂ© la porte du balcon, je suis allĂ© dans la chambre de ma belle-sĹ“ur, j’ai tranquillement ouvert sa porte. Si ma tante se rĂ©veille et (Que s’est-il passĂ©?) s’il le demande ,( Le verre est tombĂ© dans la cuisine Ă cause du vent!) J’allais dire. Quand je suis entrĂ©, ma belle-sĹ“ur dormait avec le haut Ă moitiĂ© ouvert, sa jupe avait glissĂ© sur la couverture et frĂ´lĂ©. J’Ă©tais folle quand j’ai vu les jambes de ma belle-sĹ“ur glisser comme ça. J’ai lĂ©gèrement poussĂ© du coude ma belle-sĹ“ur: “Belle-sĹ“ur, belle-sĹ“ur! en disant “. Il n’y avait aucun bruit de ma tante. J’ai lĂ©gèrement secouĂ© ma belle-sĹ“ur, mais elle ne se rĂ©veillait pas. J’ai tirĂ© ma belle-sĹ“ur Ă droite et Ă gauche, il n’y avait plus de son. C’Ă©tait vrai ce que ma belle-sĹ“ur a dit, elle n’a vraiment rien senti quand elle s’est endormie…
J’Ă©tais très excitĂ©e et folle, mais j’avais terriblement peur. Tout ce qui allait arriver allait arriver maintenant. Lentement, j’ai enlevĂ© la jupe de ma belle-sĹ“ur lĂ oĂą elle Ă©tait allongĂ©e, puis sa chemise dessus. Ma belle-sĹ“ur s’est retrouvĂ©e avec sa jarretière noire et elle ne pouvait rien ressentir, c’Ă©tait comme si elle Ă©tait complètement paralysĂ©e. J’ai d’abord commencĂ© Ă caresser les jambes de ma belle-sĹ“ur et Ă renifler et lĂ©cher sa jarretière noire en soie. Il le mettait comme si c’Ă©tait bien. Puis j’ai enlevĂ© sa culotte en dentelle un peu de cĂ´tĂ©, la chatte de ma belle-sĹ“ur Ă©tait comme un rasoir, complètement glabre et brillante comme de l’or. Sa chatte ressemblait Ă une chatte vierge Ă mes yeux, après tout, elle n’avait pas touchĂ© une bite depuis 10 ans. Je m’en fichais si ma belle-sĹ“ur se rĂ©veillait plus, mĂŞme si elle se rĂ©veillait, j’allais la violer, j’allais la baiser de force. J’ai commencĂ© Ă lĂ©cher la chatte de ma belle-sĹ“ur, je suçais les lèvres de sa chatte et ma belle-sĹ“ur n’avait aucune voix. J’ai lĂ©chĂ© la chatte de ma belle-sĹ“ur pendant environ 10 minutes. Ma tante avait Ă©jaculĂ©, j’ai lĂ©chĂ© les eaux de sa chatte. Puis j’ai lentement remontĂ© mon chemin. J’ai recroquevillĂ© son soutien-gorge et j’ai commencĂ© Ă sucer les pointes sipsivri de ses seins. Les extrĂ©mitĂ©s Ă©taient devenues comme des Ă©pines. De lĂ , je me suis accrochĂ© aux lèvres de ma tante et j’ai touchĂ© ma bite Ă sa bouche…
Puis j’ai enfoncĂ© ma bite dans la chatte de ma belle-sĹ“ur par le bord de sa culotte et lentement enracinĂ©e. La chatte de ma belle-sĹ“ur brĂ»lait. Pas grand-chose, quand j’ai rĂ©alisĂ© que je jouirais après quelques marĂ©es, j’ai sorti ma bite de sa chatte et Ă©jaculĂ© dans ma main. J’ai immĂ©diatement couru Ă la salle de bain, lavĂ© mon sperme dans mes mains, pris quelques serviettes de la cuisine et suis revenu chez ma tante. Après avoir sĂ©chĂ© la chatte de ma belle-sĹ“ur avec une serviette, j’ai retournĂ© ma belle-sĹ“ur et suis partie de ses mollets en lui lĂ©chant les cuisses. Puis j’ai dĂ©shabillĂ© sa culotte en dentelle jusqu’Ă ses genoux et lui ai lĂ©chĂ© le trou du cul. Le trou du cul de ma belle-sĹ“ur Ă©tait serrĂ© et sentait bon. Ma tante Ă©tait une femme très propre et soignĂ©e. Juil. Il n’y avait mĂŞme pas un cheveu autour de son trou du cul, elle Ă©tait prĂ©parĂ©e comme si elle allait lui baiser le cul de temps en temps. J’ai pris une crème dans le tiroir et je l’ai appliquĂ©e sur le cul de ma belle-sĹ“ur et sur la tĂŞte de ma bite, qui est redevenue comme du bĂ©ton. Puis j’ai commencĂ© Ă insĂ©rer lentement ma bite dans son cul. Après une ou deux tentatives, j’ai rĂ©ussi Ă tous les faire entrer. après avoir baisĂ© le cul de ma belle-sĹ“ur pendant environ 10 minutes, je jouis sur son cul…
Après que ma bite ait atterri, je l’ai sortie de son cul et j’ai nettoyĂ© toute ma belle-sĹ“ur avec une serviette. J’ai mis les vĂŞtements de ma belle-sĹ“ur et j’ai quittĂ© sa chambre comme si de rien n’Ă©tait. Je me suis couchĂ© immĂ©diatement et je me suis endormi. Quand je me suis rĂ©veillĂ© Ă un moment donnĂ©, il Ă©tait 06h00 du matin, je me suis levĂ©, j’ai nettoyĂ© la cuisine et je suis retournĂ© me coucher, je me suis endormi. DĂ©c. Puis quand je me suis rĂ©veillĂ© Ă nouveau vers 10h00 du matin, ma tante venait de se lever. Cela a attirĂ© mon attention, ma tante Ă©tait très Ă l’aise. “J’ai bien dormi le soir, je me sens Ă©coutĂ©.”dit-il. Quand ma belle-sĹ“ur a dit qu’elle avait rĂŞvĂ© toute la nuit, elle a dit: “Non, belle-sĹ“ur, qu’as-tu vu?J’ai dit. Ma belle-sĹ“ur a dit “” Je ne me souviens pas, mais c’Ă©tait magnifique!”dit-il. Ma belle-sĹ“ur est ensuite allĂ©e aux toilettes pour prendre une douche. Donc ma tante n’avait aucune idĂ©e qu’elle Ă©tait baisĂ©e, j’Ă©tais très heureuse…